15 juin 2009

Les fêtes de l'ambassadeur... - ou parler pour rien dire

Bien bien bien... Rentrée du Luxembourg où le bon goût en terme de décoration s'apparente à du satanisme.
Sachez que le dimanche, perdu dans Echternach - en plus d'un nombre de
consonnes traumatisant - le quidam ayant chanté toute la soirée (avec succès) est contraint de calmer sa faim dans une chambre d'hôtel à coups de speculoos et de Bitburger (son patronyme ne le dit pas mais c'est de bière dont il s'agit). Mais où sont les faisans, le champagne coulant à flots, les Ferrero rochers ?!
Rhaaaa! La
vie d'artiste n'est plus ce qu'elle était...

1 commentaire:

bardache a dit…

le commun des mortels ignore la terrible solitude de la diva quand, seule, épuisée, elle rentre à son hotel les bras chargés des fleurs jetées par ses admirateurs mais le coeur triste et las... hélas

Ecrivez sans déborder